Archives

Certains poèmes que j'avais écrit il y a quelques temps déjà ont été supprimé à Béziers et Wiatt avait ouvert l'ecrin dans sa demeure. C'est ainsi que j'ai continué à écrire et je vous mets donc ici les poèmes composés avant que je ne déclare ma flamme à Sylojuma.

Si vous aussi vous voulez nous faire profiter de ces mots que vous avez écrit alors n'hésitez pas c'est fait pour ça ! Very Happy

Aube d’un jour nouveau
Plein de joie et d’ivresse
D’avoir passé le flambeau
Et qu’enfin je me reconnaisse

Brûle d’un feu ardent
Mon cœur qui s’éveille
De voir un monde régent
Plein de luminosité et merveille

Que la pluie cesse
Que mon regard change
Sur ce sentiment qui laisse
Le doux parfum d’un ange

Que guérisse mon âme
D’avoir trop souffert
Du manque d’amour que l’on blâme
Pour ce jour nouveau qui m’est offert

Mon amie

Vous me manquez tant
Comment pourrai-je oublier
Se sourire si élégant
Et ces formes élancées

Mon pauvre cœur en déclin
De ne pouvoir vous serrer
Encore dans mes grosses mains
Que jadis vous aimiez regarder

Je sens que je vais mal
Sans vous à mes côtés
Seule femme que jusqu’à présent j’ai aimé
Mais tout cela est-ce bien normal

Mon cœur se meurt
Pourra-t-il un jour renaître
Ou faudra-t-il qu’il attende son heure
Pour qu’il puisse un jour vous reconnaître

Maudis moi
Toi qui de là-haut peux faire ce que tu veux de ma vie
Si seulement j’avais pu la garder près de moi
Nous serions si heureux ici

Dame comment pourrai-je vous parler d’elle
Que mon cœur a tant voulu revoir
Celle qui m’a donné tant de zèle
Quand je pensais n’être bon qu’à l’abattoir

Mais s’il vous plait d’entendre l’histoire de ma dulcinée
Alors sans hésiter je vous la conterai
Car sa mémoire je me dois de rapporter
Pour qu’enfin vous découvriez qui elle était

Elle était alors la plus belle
Elle dansait, chantait
Le monde n’avait d’yeux que pour elle
Et c’est finalement près de moi qu’elle est restée

A notre bonheur ne manquait plus
Que le fruit de notre bel amour
Mais la maladie l’emporta si lourd
Que pleurer pour moi était le seul recours

Je ne sais point si la rime est complète
Mais sachez madame que mon cœur meurtrit
Ne pourra oublier ces années ainsi finies
Emportées par la mort qui toujours nous guette

Oh quelle beauté
Qui ainsi m’a frappé
Son regard allongé
Que j’ai pu observer

Tant de joie et de tristesse
Pour un si petit bout de femme
Mais qui doit se faire tigresse
Quand certains l’enflamment

Qui vois-je au loin ?
L’oiseau qui fait son chemin
En tenant un parchemin
Ainsi fait de lin ?

Appartiendrait-il à une Dame ?
Charmante et pleine de grâce
Faut-il que l’on me damne
Pour que je puisse suivre ses traces ?

Un voyage, l’arrivée
Le froid, la rosée
Un cœur déchiré
Et ainsi la difficulté
De ne pouvoir retrouver
L’amour fragilisé
D’un sot et d’une fée
Qu’ils ont si vite oublié

Mistral souffle encore
Et emporte ces souvenirs
Qui me hantaient alors
Au point de ne pas m’endormir

A l’orée d’un bois
Je vois encore la rosée
Avec sa goutte que l’oiseau boit
Lors de ces matins frais
Et pleins de désarroi
En ne voyant passer
Le visage en émoi
D’une femme enrobée

Le lys entre les feuilles
Fait pâlir toutes les fleurs
Quand je suis dans le recueil
Mais que cessent les pleurs.

Heure d’hiver frappe toujours
Aime porter son manteau de velours
Entend jouer les troubadours
D’un soir éclairé en haut des tours
Et mon cœur bat comme tourne un vautour
Sur sa proie qu’il a vu alentour
Et mon âme friponne qui court
Pour rattraper le temps sans détour
Et puisse me réveiller un jour
Dans les bras de mon possible amour.

L'un des tous premiers quatrain destinés à ma fabuleuse Sylojuma. Je t'aime ma fée ! Very Happy

L’horizon loin devant moi
Mon cœur tu as su prendre
Que chante mon corps en émoi
D’avoir voulu t’attendre

je te lis mon amour Very Happy