Poèmes pour ma princesse

Quand je t'écoute je reste bouche bée,
comment veux tu que je m'exprime?
mon amour quand je te vois insister
alors pour toi je reprends ma plume

Mais comme je te l'ais déjà dis
c'est avec beaucoup de modestie
que j'essaye de rimer ici
et c'est souvent peu reussi

comme j'aimerai pouvoir t'écrire
combien , chéri ,je t'apprécie,
combien , j'aime te serrer et te lire
j'adore quand tous les deux on rit

Pourquoi dis-tu que la rime est peu réussie ?
Je la trouve très bien, nous ne sommes point des ménestrels
Mais je t'emmène dans cette nouvelle ritournelle
Qui je l'espère, durera toute notre vie et plus, dans l'infini

On peut me considérer comme un fou puisque cela est vrai
Et mon amour toi aussi tu le sais car c'est de toi que je suis fou
Et je suis totalement comblé que de moi tu te laisses aimer
Maintenant ne compte plus que la désignation du "nous"

Petit parchemin:
M

Nous! ça ne serra jamais flou,
ne voulant être que sur tes genoux
sans jamais me lasser je te suivrais partout
dans le plus lointain des trous
c'est alors que nous deviendrons fou
fou d'amour , plein de baisers sur tes joues
et puis même je t'en ferais partout!
à en faire hurler tous les loups queen

Les loups ne savent certainement pas quelle chance j’ai
De t’avoir tous les jours à mes côtés
Et même si je me fais très souvent des plus discrets
Ce n’est pas parce que j’ai cessé de t’aimer
D’ailleurs je pense à toi à longueur de journée
Et lorsque je te vois, je passe des jours ensoleillés
Ma vie avec toi est digne des plus beaux contes de fée
Et mes nuits, de toi je ne fais que rêver !

Petit parchemin:
P

Cher calembredaine de mes rêves,
Dans ma tête et mon coeur tu crées une trêve,
À mon âme tu apportes calme et réconfort,
En m'offrant les plus douces parties de ton corps.

Cher Calembredaine de mon coeur,
Sans toi l'amour n'aurait pas tant d'ardeur,
Tu me charmes de tes plus petites attentions,
Sans relâche tu me fais dons de ta grande affection.

Cher Calembredaine si longtemps attendu,
Grâce à toi Foi et Espoir sont réapparues,
Tu me fais revivre de grands sentiments,
Comme la sève essentielle à la croissance au printemps.

Entre nous la confiance existe,
Entre nous la complicité est présente,
Entre nous rien ne réveille la colère,
Entre nous tout est si simple,
Entre nous mon amour
L'Amour est là...

Les larmes coulèrent sur le chemin
Car l’homme n’avait pas fait que du bien
A cette jeune femme que pourtant il aime
Et avec qui il s’unira bientôt devant l’éternel

Longtemps que la plume n’a pas servit
Mais les mots reviennent, de nouveau il sourit
Ayant eu tellement peur de la perdre
Ayant vraiment eu peur de la perdre …

Les larmes coulèrent sur le chemin
Mais de retour il peut les essuyer, enfin
Car il est heureux de la retrouver
Oui ! Il est heureux de pouvoir contre lui la serrer

Par l'absence, le doute parfois s'installe
Par dépit , elle était restée là
n'ayant point l'habitude d'être traitée comme cela
et maintenant le revoilà, lui et tout son amour,
de rester, elle ne le regrette pas et l'aime pour toujours
en espérant ne pas se perdre dans ce dédale...