bords de l'etang

Lili était heureuse de le voir mais aussi très troublait et un peu génée. Elle sentit son corps frissonner dès que sa main la frola ce leger baiser effleura ses lèvres
Elle se demandait presque si elle ne rêvait pas. Mais ses mots furent du plus touchant dis du plus profond de son corps je "t'aime". Son coeur fut foudroyée comme d'un roulement de tambour. Elle sentait son corps battre effroyablement vite.
Quand je vois l'alouette agiter
De joie ses ailes dans un rayon,
Qui s'oublie et se laisse tomber
Pour la douceur qui gagne son coeur,
Ahme vient une si grande envie
De ce que je vois dans le bonheur
Que je m'etonne qu'à l'instant même
De désir le coeur ne fondent en moi.

Hélas j'imaginais tant savoir
En amour, et comme j'en sais peu!
Pourrais je me retenir d'aimer

...
J'ai cessé d'être maître de moi
Et de m'appartenir dès le jour
Qu'il me laissa voir en ses yeux
En un miroir qui me plaît beaucoup:
Miroir, aussitôt que je me suis miré en toi

Dans un tel corps ou je me perd mon corps frissonne mes pensées rêvasse de momnts des plus opprtun et pourtant tu es là tout près de moi.
Elle le regardait pensif l'ecoutant. Je l'embrassais tendrement sur les lèvres pour se rappeler de son gôut qu'elle venait à peine de quitter

Nuit voyant Lili occupée, se leva et prit congé, ne voulant pas déranger...